Les valeurs de fabrication de l’Atelier Adhémar
« Nous créons nos univers olfactifs afin d’y intégrer nos désirs. »
Des créations aromatiques authentiques
Les bougies et cires parfumées l’Atelier Adhémar sont des créations aromatiques authentiques. Notre parfumeur situé à Grasse fabrique à notre demande des « parfums mères » selon nos souhaits et exigences. Puis nous réalisons nos propres mélanges jusqu’à la création définitive de nos formules.
Au delà de nécessiter de la rigueur – beaucoup de patience aussi ! –, créer des senteurs est un travail long et hasardeux. Rien que pour un seul accord entre deux notes, ce sont parfois des centaines d’essais… qui se soldent par beaucoup d’échecs. Et puis, il y a ces belles découvertes, où chaque note trouve sa place naturellement, en harmonie avec les autres, donnant naissance des fragrances équilibrées et subtiles
Beaucoup de ciriers utilisent les senteurs « clés en mains » disponibles chez les parfumeurs. À l’Atelier Adhémar, nous préférons vous ouvrir à des univers aromatiques authentiques en vous proposant des créations uniques, en toute simplicité : ici, les notes boisée et légèrement vanillée d’une bûche de chêne oubliée devant la cheminée ; là, une confiture de lait de notre enfance. Surprendre, régaler, émouvoir aussi parfois. Promesse de voyages olfactifs alimentés par la géographie du temps, une ivresse sensorielle que chacun retrouvera dans ses propres souvenirs… et qui n’appartient qu’à lui. Il aura suffi de quelques molécules aromatiques.
De quoi nos parfums sont-ils faits ?
Provenance, traçabilité, extraction des composés aromatiques, caractéristiques olfactives…, tous les Parfums de Grasse ne se valent pas. Ceux que nous avons choisis sont obtenus par l’hydrodistillation – donc sans utilisation de solvant – de matières premières exclusivement végétales (plantes, arbustes, arbres). Une fois les composés aromatiques extraits, les plus nobles sont sélectionnés et intégrés aux parfums en l’état : on les nomme isolats naturels. D’autres nécessitent quelques modifications pour aboutir pleinement à la molécule aromatique souhaitée : ce sont les dérivés d’huiles essentielles. Bien qu’issus d’huiles essentielles, isolats naturels et dérivés n’en sont pas à proprement parler, tout du moins pas dans la même forme que les huiles essentielles traditionnellement vendues dans le commerce. Ce sont des produits plus évolués, débarrassés de composés indésirables.
Pourquoi des Parfums de Grasse plutôt que des huiles essentielles ?
Il suffit d’avoir utilisé des huiles essentielles au moins une fois pour savoir combien elles sont concentrées en molécules odorantes. Malheureusement, lors de la combustion, nombre d’entre elles dégagent une odeur parasite préjudiciable à la qualité du rendu olfactif et, de fait, à des créations aromatiques réellement qualitatives. C’est pourquoi nous préférons utiliser des parfums à base d’isolats naturels et dérivés d’huiles essentielles plutôt que les huiles brutes dont ils sont issus. Choisir un parfumeur renommé situé à Grasse était une évidence.
Un engagement pour votre santé et celle de la planète
De la cire de soja et de colza sans pesticide ni OGM, des parfums de Grasse sans CMR(*) ni phtalates, des mèches de coton non traité sans plomb ni fil de nylon,…. et c’est tout. A l’Atelier Adhémar, tous nos choix ont été faits dans l’optique de proposer des produits respectueux des utilisateurs et de la planète.
C’est pourquoi nous n’utilisons ni pastille autocollante, colle ou cire collante pour coller les socles des mèches et que nous n’ajoutons aucun colorant, durcisseur de cire ni aucun autre additif dans nos bougies : c’est l’assurance de mieux contrôler l’impact de la combustion sur la santé et l’environnement.
C’est également pourquoi nous utilisons des parfums fabriqués à partir de matières premières végétales naturelles selon le principe de la chimie écologique, également appelée « chimie verte ». Cela a notamment l’avantage de ne pas appauvrir les réserves de plantes sauvages utiles à toutes sortes d’animaux tout en contribuant à entretenir un vivier pour les insectes pollinisateurs.
Mais notre engagement sincère pour l’environnement va plus loin :
- nos cires ont une empreinte carbone faible (soja européen) à très faible (colza français)
- tous nos fournisseurs sont en France, une majorité d’entre eux étant situés dans notre région ce qui permet des approvisionnements en circuits courts à très courts
- nos bougies sont coulées dans des contenants recyclables
- nos étiquettes sont sans vinyl
- nos cartons et particules de calage sont issus de matériaux biosourcés
- le scotch plastique habituellement utilisé pour fermer les cartons d’expédition est remplacé par de la bande papier et de la colle végétale naturelle
- une partie de l’énergie nécessaire à la fabrication des bougies l’Atelier Adhémar est renouvelable et sans empreinte carbone (solaire)
- aucun de nos produits nécessite la mort d’animaux
(*) cancérigènes, mutagènes, reprotoxiques
« Tous nos choix ont été faits dans l’optique de proposer des produits respectueux de votre santé et celle de la planète. »
Sans CMR, vraiment ?
Tout d’abord, il faut démystifier une croyance : ce n’est pas parce que c’est 100 % naturel que c’est sain. Ainsi, une bougie peut être parfumée uniquement avec des fragrances 100 % naturelles issues d’huiles essentielles et contenir cependant des CMR. Ensuite, il faut savoir qu’il existe deux sources possibles de CMR : les CMR directs, présents naturellement dans la matière première aromatique utilisée (par exemple l’huile essentielle) et les CMR indirects, apportés par l’ajout de substances naturelles permettant techniquement d’améliorer le rendu olfactif. Certains parfumeurs présentant leurs parfums comme sans CMR ne précisent pas forcément qu’ils peuvent contenir des CMR indirects. Il appartient donc à l’artisan cirier de connaître parfaitement la composition des matières premières aromatiques qu’il utilise pour ses bougies et, en cas de doute, de poser les bonnes questions aux parfumeurs. À l’Atelier Adhémar, les parfums que nous faisons préparer sont réellement sans CMR : ni CMR directs, ni CMR indirects.
Colza contre soja : le faux match de l’écoresponsabilité
Il arrive que la cire de soja soit dévalorisée en comparaison à la cire de colza. En cause : son supposé impact environnemental. C’est vrai si le soja provient de pays situés à plusieurs milliers de kms en raison de l’empreinte carbone inhérente à son acheminement. C’est encore plus vrai si ces pays pratiquent la destruction massive d’écosystèmes naturels pour cultiver le soja. Rien qu’au Brésil, ce sont 24 millions d’hectares de forêt amazonienne, savanes et prairies qui ont été détruits. Mais c’est faux si le soja est produit en Europe. À l’Atelier Adhémar, la cire de soja utilisée provient uniquement d’Europe.
Des durcisseurs de cire très durs pour la planète
La cire de soja étant naturellement moins dure que la cire de colza. elle se liquéfie plus rapidement Cela a pour effet de produire un bain de fusion important avec un risque accru de surchauffe de la bougie. Il est possible de pallier ce problème en associant les deux cires. Mais la cire de colza est délicate à travailler : sa phase de solidification arrivant assez brutalement, elle demande une maîtrise du timing des étapes de fonte des cires, de mélange des parfums et coulage des bougies… avec de possibles « ratés ». D’où le choix de certains artisans ciriers de se tourner vers l’acide stéarique, un additif plus connu sous le nom de stéarine. Sur le papier, ses avantages sont nombreux : bain de fusion contenu, absence de surchauffe, augmentation de la durée de vie de la bougie… il suffit d’en ajouter à la cire de soja pour constater que ça marche. Sans doute ignorent-ils que la principale source d’acide stéarique disponible sur le marché est l’huile de palme, loin devant les beurres de karité et cacao, les huiles de coco et tournesol, car bien moins chère. Or, quelle que soit la certification accordée à celle-ci, comme par exemple une origine végétale respectueuse des animaux, un engagement « développement durable » bénéfique pour la planète, l’huile de palme reste de l’huile de palme. Une huile dont la production est étroitement liée à la disparition de territoires essentiels à la survie de certaines espèces animales, et aussi parfois à leur massacre. Pour savoir si votre bougie contient un durcisseur, il existe un test très simple : si l’étiquette mentionne uniquement la présence de cire de soja mais qu’il est impossible de déformer la cire en appuyant fortement le doigt à la surface de la bougie (à froid, avant le 1er allumage), c’est qu’il y en a un.
Pure et pourtant très polluante
La paraffine est une cire minérale fabriquée à partir du pétrole. Face à la mauvaise réputation qu’elle traîne depuis la démocratisation des cires végétales mais aussi la facilité d’accès à l’information via internet, ses défenseurs ont trouvé un argument de poids pour revaloriser son image : finie la paraffine polluante d’avant, place à la nouvelle paraffine désormais pure et dépourvue de toxicité. Ce qu’ils ne disent pas, c’est que plus il y a d’étapes d’élimination des impuretés en amont, durant son processus de fabrication, plus il y a production de déchets. Des déchets qui ne se volatilisent pas par enchantement. Parce qu’elle est issue du pétrole, la paraffine est et restera toujours une cire polluante.
100 % bio...dégradable
Certaines bougies sont proposées parfois avec la mention « cire végétale 100 % biodégradable ». C’est bien, mais cela n’a rien d’inhabituel : les huiles végétales étant naturellement biodégradables, toutes les cires végétales le sont également à 100 %, sans exception. Cet argument qui n’a donc finalement que peu d’intérêt entretient la confusion avec le bio. Or, ce n’est pas parce que c’est biodégradable, donc éliminé en totalité par des micro-organismes, que c’est sans pesticide. Les cires que nous utilisons sont biodégradables… ET sans pesticide.
« Tous nos choix ont été faits dans l’optique de proposer des produits respectueux de votre santé et celle de la planète. »
Sans CMR, vraiment ?
Tout d’abord, il faut démystifier une croyance : ce n’est pas parce que c’est 100 % naturel que c’est sain. Ainsi, une bougie peut être parfumée uniquement avec des fragrances 100 % naturelles issues d’huiles essentielles et contenir cependant des CMR. Ensuite, il faut savoir qu’il existe deux sources possibles de CMR : les CMR directs, présents naturellement dans la matière première aromatique utilisée (par exemple l’huile essentielle) et les CMR indirects, apportés par l’ajout de substances naturelles permettant techniquement d’améliorer le rendu olfactif. Certains parfumeurs présentant leurs parfums comme sans CMR ne précisent pas forcément qu’ils peuvent contenir des CMR indirects. Il appartient donc à l’artisan cirier de connaître parfaitement la composition des matières premières aromatiques qu’il utilise pour ses bougies et, en cas de doute, de poser les bonnes questions aux parfumeurs. À l’Atelier Adhémar, les parfums que nous faisons préparer sont réellement sans CMR : ni CMR directs, ni CMR indirects.
Colza contre soja : le faux match de l’écoresponsabilité
Il arrive que la cire de soja soit dévalorisée en comparaison à la cire de colza. En cause : son supposé impact environnemental. C’est vrai si le soja provient de pays situés à plusieurs milliers de kms en raison de l’empreinte carbone inhérente à son acheminement. C’est encore plus vrai si ces pays pratiquent la destruction massive d’écosystèmes naturels pour cultiver le soja. Rien qu’au Brésil, ce sont 24 millions d’hectares de forêt amazonienne, savanes et prairies qui ont été détruits. Mais c’est faux si le soja est produit en Europe. À l’Atelier Adhémar, la cire de soja utilisée provient uniquement d’Europe.
Des durcisseurs de cire très durs pour la planète
La cire de soja étant naturellement moins dure que la cire de colza. elle se liquéfie plus rapidement Cela a pour effet de produire un bain de fusion important avec un risque accru de surchauffe de la bougie. Il est possible de pallier ce problème en associant les deux cires. Mais la cire de colza est délicate à travailler : sa phase de solidification arrivant assez brutalement, elle demande une maîtrise du timing des étapes de fonte des cires, de mélange des parfums et coulage des bougies… avec de possibles « ratés ». D’où le choix de certains artisans ciriers de se tourner vers l’acide stéarique, un additif plus connu sous le nom de stéarine. Sur le papier, ses avantages sont nombreux : bain de fusion contenu, absence de surchauffe, augmentation de la durée de vie de la bougie… il suffit d’en ajouter à la cire de soja pour constater que ça marche. Sans doute ignorent-ils que la principale source d’acide stéarique disponible sur le marché est l’huile de palme, loin devant les beurres de karité et cacao, les huiles de coco et tournesol, car bien moins chère. Or, quelle que soit la certification accordée à celle-ci, comme par exemple une origine végétale respectueuse des animaux, un engagement « développement durable » bénéfique pour la planète, l’huile de palme reste de l’huile de palme. Une huile dont la production est étroitement liée à la disparition de territoires essentiels à la survie de certaines espèces animales, et aussi parfois à leur massacre. Pour savoir si votre bougie contient un durcisseur, il existe un test très simple : si l’étiquette mentionne uniquement la présence de cire de soja mais qu’il est impossible de déformer la cire en appuyant fortement le doigt à la surface de la bougie (à froid, avant le 1er allumage), c’est qu’il y en a un.
Pure et pourtant très polluante
La paraffine est une cire minérale fabriquée à partir du pétrole. Face à la mauvaise réputation qu’elle traîne depuis la démocratisation des cires végétales mais aussi la facilité d’accès à l’information via internet, ses défenseurs ont trouvé un argument de poids pour revaloriser son image : finie la paraffine polluante d’avant, place à la nouvelle paraffine désormais pure et dépourvue de toxicité. Ce qu’ils ne disent pas, c’est que plus il y a d’étapes d’élimination des impuretés en amont, durant son processus de fabrication, plus il y a production de déchets. Des déchets qui ne se volatilisent pas par enchantement. Parce qu’elle est issue du pétrole, la paraffine est et restera toujours une cire polluante.
100 % bio...dégradable
Certaines bougies sont proposées parfois avec la mention « cire végétale 100 % biodégradable ». C’est bien, mais cela n’a rien d’inhabituel : les huiles végétales étant naturellement biodégradables, toutes les cires végétales le sont également à 100 %, sans exception. Cet argument qui n’a donc finalement que peu d’intérêt entretient la confusion avec le bio. Or, ce n’est pas parce que c’est biodégradable, donc éliminé en totalité par des micro-organismes, que c’est sans pesticide. Les cires que nous utilisons sont biodégradables… ET sans pesticide.
Un engagement pour votre santé et celle de la planète
De la cire de soja et de colza sans pesticide ni OGM, des parfums de Grasse sans CMR(*) ni phtalates, des mèches de coton non traité sans plomb ni fil de nylon,…. et c’est tout. A l’Atelier Adhémar, tous nos choix ont été faits dans l’optique de proposer des produits respectueux des utilisateurs et de la planète.
C’est pourquoi nous n’utilisons ni pastille autocollante, colle ou cire collante pour coller les socles des mèches et que nous n’ajoutons aucun colorant, durcisseur de cire ni aucun autre additif dans nos bougies : c’est l’assurance de mieux contrôler l’impact de la combustion sur la santé et l’environnement.
C’est également pourquoi nous utilisons des parfums fabriqués à partir de matières premières végétales naturelles selon le principe de la chimie écologique, également appelée « chimie verte ». Cela a notamment l’avantage de ne pas appauvrir les réserves de plantes sauvages utiles à toutes sortes d’animaux tout en contribuant à entretenir un vivier pour les insectes pollinisateurs.
Mais notre engagement sincère pour l’environnement va plus loin :
- nos cires ont une empreinte carbone faible (soja européen) à très faible (colza français)
- tous nos fournisseurs sont en France, une majorité d’entre eux étant situés dans notre région ce qui permet des approvisionnements en circuits courts à très courts
- nos bougies sont coulées dans des contenants recyclables
- nos étiquettes sont sans vinyl
- nos cartons et particules de calage sont issus de matériaux biosourcés
- le scotch plastique habituellement utilisé pour fermer les cartons d’expédition est remplacé par de la bande papier et de la colle végétale naturelle
- une partie de l’énergie nécessaire à la fabrication des bougies l’Atelier Adhémar est renouvelable et sans empreinte carbone (solaire)
- aucun de nos produits nécessite la mort d’animaux
(*) cancérigènes, mutagènes, reprotoxiques
« Une fabrication artisanale n’a que peu de valeur sans une véritable éthique. »
Une véritable éthique artisanale
Les bougies et cires parfumées l’Atelier Adhémar sont entièrement réalisées à la main dans notre atelier, en Drôme Provençale. Loin des cadences rapides et productions « grands volumes », nous préférons privilégier le soin apporté à la fabrication. Mais une confection artisanale n’a de valeur que si elle est accompagnée d’une véritable éthique.
L’éthique artisanale, c’est respecter les valeurs de l’artisanat telles que le public les imagine… et qu’il est légitimement en droit d’attendre. Cela suppose des choix motivés davantage par une quête de qualité qu’une optimisation aveugle de rentabilité : qualité des matières premières ; qualité des gestes techniques à chacune des étapes de fabrication. L’éthique artisanale, c’est aussi s’imposer ses propres exigences au-delà des conventions officielles : uniquement du travail fait dans le niveau de rigueur que l’on s’est fixé, sans jamais déroger.
Parce que ne pas décevoir ses clients commence par ne pas se décevoir soi-même. Certaines notes aromatiques « disparaissant » lors de la combustion (elles sont simplement brûlées avant de pouvoir s’exprimer), nous avons fait le choix de ne pas proposer certaines senteurs en bougie (elles seront disponibles prochainement sous forme de tablettes et fondants). À l’Atelier Adhémar, on ne fabrique que ce que l’on sait bien faire… et on prend le temps de le faire bien.
Ni pastille autocollante, ni colle, ni cire collante
Pastille autocollante, cire collante, colle, les solutions pour fixer les socles de mèche ne manquent pas… et les inconvénients non plus ! Si colles et pastilles sont une aberration sur le plan sanitaire (une véritable source de toxicité lorsque la flamme s’en approche), les cires collantes ne sont pas quant à elles un modèle d’écoresponsabilité. Aucune de ces solutions n’étant respectueuse de la santé et de l’environnement, nous avons fabriqué une colle «maison » naturelle à partir de nos cires. Cela a été l’occasion de nous lancer – une fois de plus – dans de nombreux essais, mais le résultat nous satisfait pleinement. Prendre le temps d’apporter des solutions satisfaisantes à chacune des étapes de fabrication, y compris pour les problèmes les plus « anodins », c’est aussi cela, l’éthique artisanale.